Le Hamas a récemment annoncé qu’il étudiait avec un “esprit positif” la dernière offre de trêve qui est associée à la libération d’otages dans la bande de Gaza. Cette proposition intervient après près de sept mois de guerre meurtrière qui ont causé des destructions “sans précédent”, selon l’ONU.
Les pays médiateurs, tels que le Qatar, l’Égypte et les États-Unis, attendent maintenant la réponse du Hamas à cette nouvelle proposition. En attendant, des sources médicales ont fait état de frappes israéliennes dans le secteur de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
Israël a également annoncé le décès d’un des otages israéliens à Gaza, Dror Or, habitant du kibboutz Be’eri. Deux de ses enfants, qui avaient également été kidnappés par le Hamas le 7 octobre, avaient été libérés fin novembre dans le cadre d’une première trêve.
Parallèlement, aux États-Unis, des manifestations pro-palestiniennes ont eu lieu sur les campus universitaires, suscitant des tensions. La police a procédé à plus de 2 100 arrestations lors de ces manifestations au cours des dernières semaines, selon un décompte de l’Associated Press. Par exemple, sur le campus de UCLA à Los Angeles, la police a arrêté 210 personnes lors du démantèlement d’un campement.
Le bilan des morts dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas s’élève désormais à 34 596, selon le ministère de la Santé du Hamas.
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