La France prévoit des sanctions proportionnées contre l’Algérie si un accord n’est pas trouvé sur la reprise des personnes jugées dangereuses pour le pays. Sophie Primas, porte-parole du gouvernement, a annoncé qu’une liste de ces individus sera bientôt envoyée au gouvernement algérien, avec l’espoir de résoudre la question par le dialogue. En cas d’échec, des mesures, y compris une réduction des visas pour des dignitaires algériens, pourraient être mises en place. L’option de remettre en cause les accords de 1968 pourrait également être envisagée si la situation persiste.
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